Aujourd’hui avait été une journée calme. En effet, Sam avait décidé de m’accorder un jour de repos amplement mérité après des semaines de surveillance dans toute la réserve. Je n’avais pas fait grand chose la matinée puisque je m’étais réveillé tard, aillant fait une grâce matinée. C’est donc légèrement reposais que j’entamé cette journée qui se promettait d’être calme. A l’heure du déjeuner, mon père reçut Sue ainsi que Seth a mangeaient ce qui m’arrangea grandement car, Sue avait pour habitude de cuisiné lorsqu’elle était invité chez nous. Mon père n’avait mit qu’une fois les pieds dans la cuisine pour y cuisiner, et ce jour là, il avait mit le feu a son poulet ainsi qu’a une moitié de la cuisine. Donc Sue préférait cuisiner elle-même pour ne pas risquer d’être brûlait. Durant le diner, on père était en grande conversation avec Sue ce qui ne me gêné aucunement puisque Seth était là pour me tenir compagnie. J’aimais bien ce gosse car il possédait un cœur énorme, mais surtout, une conversation hors norme surement hériter de sa mère. Je connaissais bien Harry, et celui ci était plutôt calme et discret comme sa fille Leah. Malheureusement, le vieux Harry était mort laissant derrière lui une femme et deux enfants en pleine adolescence. Bref, le repas fut délicieux et heureusement, Sue avait prévu large car elle savait que je mangeais beaucoup. Depuis ma transformation, j’avais sans cesse faim, ce qui ne manquait pas d’agacer mon père qui devait sans cesse acheter de la nourriture. Lorsque le repas fut engloutit, que Sue et Seth soit partit, mon père retourna devant la télévision pour regarder encore une fois un match de baseball. Cela me passionnais avant, quand ma seul préoccupation était de suivre Embry et Quil a travers Port Angeles a la recherche de filles a draguer.
Mais désormais, je n’avais plus vraiment le temps de suivre les compétitions avec mon emploie du temps surcharger. Laissant mon père dans le salon, j’allais dans ma chambre afin de faire une sieste. Et oui, vous me dirait surement que la sieste c’est pour les vieux, mais courait douze bornes par jours et vous verrait que la sieste est la bien venu. Bref, il ne me fallut pas longtemps pour m’endormir. Je fis des rêves paisibles. J’étranglais Edward ainsi que Blondie. Bref, le plus beau des rêves. Mais malheureusement, je fus tirais de mon sommeil par un bruit provenant de dehors. Je me levais et sortis en grande trombe de ma chambre. Je jetais vite un coup d’œil a mon père qui secoua la tête ne comprenant pas d’où cela venait. Je sortis sur le perron de la porte et je réentendis le bruit. Un loup hurlait dans la forêt et j’étais a peut prés sur que quelque chose n’aller pas. Je sautais loin devant moi et me transformais en loup. Désormais, je pouvais communiquer avec toute la meute. C’est d’ailleurs ce que je fis :

Que se passe t-il ? demandais-je avec un légère colère dans la voix.
Jacob ? Mais qu’est ce que tu fais transformer ? me demanda Sam d’une voix que je ne lui connaissais pas.
J’ai étais alerté par un hurlement !! Alors je vous pose la question, qui est l’abruti qui hurle pour la seule raison de faire du bruit.
Allons mon vieux. Pardonne-moi, mais j’avais un méchant bout de viande coincé entre les dents et je n’arrivais pas a l’enlever. C’est pour cela que j’ai hurlais. Me dit Jared avant de rire.

Je sautais sur lui afin de lui apprendre à hurlé pour des bêtises. Mais Sam s’interposa entre lui et moi et me fixa droit dans les yeux. Désormais, je ne pouvais plus me rendormir grâce à cet abruti de Jared. Lorsqu’il entendit mes pensées, il poussa un autre hurlement de rire cette fois ci. Je n’y prêta plus attention et me dit que, puisque j’étais déjà en loup, je pouvais très bien faire une petite promenade, histoire de me dégourdir les jambes. Je me mis donc a courir en direction du centre de la forêt, un endroit calme peut fréquenter par les animaux. Je m’élança donc afin d’atteindre le centre le plus vite possible. Durant le court trajet jusqu’au centre de la belle forêt de la Push, je m’imaginais plein de possibilité de vengeance envers Jared. Je trouverais bien un truc sadique a lui faire la prochaine fois qu’il dormira paisiblement. J’arrivais vite au centre et je fus heureux de constatais que les animaux s’étaient enfuie en me sentant arriver. Mais je n’eus guère le temps de profitais de ce moment de calme car une odeur suspecte se fit sentir. Une odeur que je connaissais bien hélas. Un vampire. Il s’approchait de moi a une vitesse folle mais je ne fus nullement impressionné. Lorsqu’elle arriva et qu’elle me parla, je souris et me retournais vers elle pour lui faire face. Je ne connaissais pas ce vampire, mais je savais qu’elle regretterait très rapidement d’être venu ici. J’entendis Sam demandais ce qu’il se passait et je lui dis simplement :

Il y a un vampire sur notre territoire mais ne t’en fais pas, je m’en occupe !!
Tu ne dois pas prendre de risque Jacob. Quil, va l’aider.
Non !! Le premier qui vient ici, je lui mords le gosier.

Puis je me retransformais en humain afin de pouvoir communiquer avec le vampire qui me faisait face et qui n’aller pas tardait a mourir. Je ne me rhabillais pas, ne voyant pas la peine de me cacher aux yeux d’une buveuse de sang. Je m’avançais vers l’arbre dans lequel elle était perché lorsqu’elle sauta a terre pour me faire face. Elle était d’une beauté agaçante qui qualifié tous les vampires. Je n’y fis nullement attention et dit avec un sourire non dissimulé pour qu’elle voie que j’avais pas peur d’elle :

« Chouette !! Les Sangsues m’envoient une de leur race afin que je me fasse les dents. Je ne pense pas n’avoir jamais mis mes dents dans ta peau couleur merde de pigeon ma chère. »

Je la sentais, ce qui, dans la vie des humains, aurait paru vulgaire. Berk ! Elle sentait exactement comme les Cullens. Je m’approchais d’elle et dis d’un air écœuré :

« Berk !! Tu empeste encore plus que tes copains sangsues. Et puis a ce que je vois, tu es allait chez le même coiffeur que ma copine Blondie. »

Cela faisait,déjà plusieurs mois,que j'avais quitté de la clan d'Amun,mon créateur,il ne s'en était toujours pas remis d'ailleurs. Mais je n'en pouvais plus de cette vie,j'avais envie de voir le monde. J'étais resté plusieurs années en Egypte,mais ce pays ne me plaisait plus,pourtant j'y avais connu,de nombreux instants de bonheur,mais l'emprise qu'Amun,avait sur mon m'énervait au plus haut point. Bien sur,il m'avait créé,il avait su,dès qu'il m'avait vu,marchant sur les bords du Nil,que je serais exceptionnel. Enfin,c'est le terme,qu'il utilisait pour me qualifier,pourtant,je n'avais pas la prétention de le penser. Certes j'avais un dont,qui était hors du commun,chez les vampires,mais il ne m'était pas indispensable,seulement très pratique. Il m'avait été plus dur de quitter le clan,que je ne le pensais,j'avais souffert d'abandonner Kebi,ma mère adoptive,celle qu'y m'avait réconforté,quand je n'allais pas bien,quand je n'avais pas le moral,j'avais même hésiter à partir,lorsque j'avais vu dans ces yeux,la peine,que je lui faisais,mais elle m'avait assuré,qu'elle ne serait pas triste si j'étais heureux,en parcourant le monde. Alors ce fut le tour des adieux avec Tia,celle qui était éprise d'amour pour moi,elle avait qui j'avais passé de fabuleuse nuit,blottie dans mes bras,dure comme l'acier et froid comme le marbre. Elle m'avait serrer dans ces bras,puis elle déposa délicatement,un tendre baiser sur mes lèvres,je frémis. Comment pouvais-je être aussi égoïste,envers les personnes qui m'étaient chères,mes amis,ma famille. Je pris ma tête dans mes mains,elle caressa mes cheveux et me susurra quelques mots doux à l'oreille. Tia n'était pas fâchée que je m'en aille,elle me comprenait,elle-même était partie,il y a plusieurs années de cela,pour découvrir le monde,tout comme moi aujourd'hui. Je l'embrassa avec ferveur,elle me regarda dans les yeux,elle espérait de tout son être que je revienne. Pourtant,au fond de moi même,je savais que je ne reviendrais,pas. Il fallait que je change totalement de vie,et de mode alimentaire sans aucun doute. Je partis sans me retourné,je sais pertinemment,que si je me retournais,je n'arriverais plus à les quitter.




Je couru durant des jours et des jours,mais je me décidai à prendre un bateau,pour gagner le continent américain,sachant,que je n'aurais aucun mal à nager jusqu'à la bas,que les bateaux,que je croiserais,s'interrogeraient,sur le fait,qu'un jeune homme d'à peine,seize ans,vu mon physique,soit en être de nager,en plein milieu de l'océan Atlantique. En moins d'une semaine,j'arrivai à New York,j'étais affamé,j'aurais sauté sur n'importe,quel humain,si je n'avais pas une certaine maitrise de moi. J'avais cependant pris mes précautions avant d'embarquer,le bateau,ne contenait qu'un nombre restreint de voyageurs,c'était beaucoup trop risqué,de me nourrir sur le bateau. Avant de partir,j'avais manger ou but le sang de plusieurs personnes. Lorsque j'arrivais à New York,le ciel était pluvieuse ce qui m'arrangea. J'y passais,cependant que quelques heures,puis je partis vers le Sud,j'arrivais en quelques jours à Seattle,puis je remontai,vers la frontière Canadienne. Et redescendait,en direction,d'une ville,dont on m'avait beaucoup parlé: Forks .

Elinor lui rendit son sourire, plus carnassier qu’ironique, et referma sa paume de main comme pour éteindre la flamme. Il n’avait pas changé, pas d’un pouce. Même dans ses souvenirs, il portait des habits similaires et son sadisme n’avait d’égard que sa beauté. Bien sûr, Eli ne lui dirait jamais une chose pareille, elle avait sa fierté. Curieuse de savoir ce que le jeune homme faisait là, elle huma son odeur et sentit une odeur de sang frais pas loin. Heureusement qu’elle venait de se nourrir, sinon, elle aurait bien mangé un de ses sublimes italiens, elle aussi… Mais bon… l’appétit lui manquait ces temps-ci. Eclatant de rire en entendant sa dernière remarque, elle fut surprise du fait que le « jeune » homme ignorait sa venue.

_ C’est ça qui est bien avec moi Démétri, on ne m’attend nulle part et je débarque tel une tempête. Imprévisible et rapide ! Non sérieusement, tu ne savais pas qu’Aro m’avait fait appelé et j’espère vivement que cela n’est pas pour nettoyer tes restes de repas, mon trésor.

La demoiselle passa juste à côté de lui et planta ses yeux dans les siens pendant de longues minutes, comme-ci, elle lui lançait une sorte de défi. Le jeu avait toujours eu une grande place entre la petite Eli et le grand Démétri. Ensuite, elle courut jusqu’à la jeune fille, et prêta attention à son visage. Vérifiant qu’elle était bien morte – et oh dieu, qu’elle l’était – elle fouilla ses poches et y trouva un portefeuille.

_ Dois-je encore te donner des leçons à ton âge, Démétri ? dit-elle sur un ton calme, la première chose à faire, est de leur piquer leurs papiers. En ce moment, j’ai entendu dire que beaucoup d’adolescentes disparaissaient en Italie. Vous avez une bande de nouveaux nés ou quoi ?

Se tournant une nouvelle fois vers le jeune homme, elle lui sourit et lui lança un petit clin d’œil, comme pour lui dire que cela n’était qu’une blague. Heureusement que Démétri était plus calme que Félix, sinon, elle serait déjà encastrée dans le mur ! Ensuite, elle prit un peu de sang de la jeune fille, et le goûta. Sentant fortement la vodka, elle faillit même courir chercher le même – au masculin, Eli ne mangeait jamais les femmes.

_ Tu t’es offert un bon Bloody Mary, mon Trésor. Ca me manque ça, de ne plus ressentir les effets de l’alcool. Enfin, la délectation que j’éprouve à tous les brûler, est presque similaire au fait d’ingurgiter disons, un baril de vodka. Tiens d’ailleurs, ça me fait penser que tu ne m’as jamais vu à l’œuvre. Admire le bûcher !

Elinor lança un regard insouciant à Démétri, comme-ci elle venait tout juste de fêter ses seize ans – alors qu’elle venait d’avoir deux cent ans – et se tourna vers le corps de la gamine. Prenant une grande inspiration – comme-ci cela lui servait à quelque chose – elle frotta ses deux paumes l’une contre l’autre, et les plaça au dessus du corps de la morte. Quelques instants après, un geyser de flammes sortit de ses mains, carbonisant complètement le corps, jusqu’à la rendre méconnaissable. Son travail terminé, Elinor sauta à terre et s’assit en tailleur et invita Démétri à la rejoindre. Son insouciance lui donnait l’air d’une jeune adolescente, alors qu’elle avait quand même vécu deux décennies. Un feu d’artifice éclata en plein ciel, éclairant leurs visages, et elle leva la tête pour regarder, avant de lâcher encore une connerie.

_ Moi aussi je peux le faire ! Je veux dire, faire exploser des fusées – elle laissa échapper un de ses rires d’enfant avant de regarder son interlocuteur – tu n’as pas changé d’un pouce. Bon, je vais arrêter de te reluquer, c’est malpoli. Sinon quelles sont les nouvelles à Volterra ? J’ai appris que t’étais venu à Forks, il n’y a pas si longtemps. Un « bonjour » t’aurais sans doute brulé la langue ?

La nuit s’éclaira de nouveau par une lumière verte, et l’ébahissement des humains fit taire Eli. La laissant dans sa souffrance que l’arrivée de Démétri avait réveillée. Allait-elle lui avouer un jour, ou la crainte qu’il en aime une autre, la fera se taire à jamais ?